Parmigiani Fleurier Bugatti Type 370 : une montre poignet révolutionnaire.

Quand la haute horlogerie et la technologie automobile se croisent, cela donne une montre bracelet hors du commun appelée Parmigiani Fleurier Bugatti Type 370. Tant par sa forme que par sa prouesse technologique, la Bugatti Type 370 est un must dans l’horlogerie de luxe.

Parmigiani Fleurier Bugatti Type 370 : une montre pour se démarquer.

La manufacture Parmigiani Fleurier a été fondée par Michel Parmigiani et la Fondation de Famille Sandoz en 1996. Inconditionnel de l’horlogerie d’art depuis son enfance, Michel Parmigiani exploite dans sa manufacture son incroyable talent pour la création. La Bugatti Type 370 en est une preuve. Elle est un concentré de défis mécaniques et d’une inspiration artistique inédite. A la fois agréable à voir et à la pointe de la technologie, elle est inspirée directement de la marque prestigieuse de voiture Bugatti.

En effet le nom Bugatti nous est déjà très familier. Cette fois-ci, la technologie de la marque a quitté un instant le tarmac pour embellir notre poignet. Le « moteur » de la Bugatti type 370 disposé en transversale comme celui d’une voiture est montré fièrement à travers des vitres en saphir. Une telle prouesse a nécessité l’utilisation de techniques, qui jusqu’ici, étaient réservées à la mécanique automobile. Tout dans ce garde temps le démarque de tous les autres modèles de la haute horlogerie.

La Bugatti Type 370 est un pur chef-d’œuvre mécanique.

Imaginer un bloc moteur disposé à la transversale autour d’un poignet, seul Parmigiani l’a fait. Et le résultat est tout simplement exceptionnel. On peut voir à travers les six verres en saphir, soutenus par le boîtier en or blanc 18 carats constitué de 8 parties, le très complexe mouvement des pièces mécaniques. Le cadran et le bracelet en veau Hermès rouge H rappelle quant à eux l’appartenance de cette montre au monde restrictif du haut de gamme.

L’ingéniosité se trouve surtout au cœur de la Bugatti type 370. Pour la mise à l’heure, un système de débrayage à disque et ressort à boudin a été mis en place. Des cardans sur les transmissions mécaniques de remontage et de mise à l’heure, des pignons à denture coniques pour le renvoi, une réserve de marche à différentiel conique à dentures coniques, roues en forme de jantes de voiture, le tout monté sur des silent blocks disposés sur 5 platines par entretoise et micro-écrous. Désormais, la mécanique automobile est miniaturisée. Cerise sur le gâteau, un autre système, le fruit de 3 années de labeur : le starter en aluminium et acier à système dynamométrique en forme de stylo pour la mise à l’heure et le remontage. Dans ce chef-d’œuvre, rien n’a vraiment été laissé au hasard.